Source à propos de Pour plus d’infos, cliquez ici
L’expert-comptable se frotte à des questions très diversifiées : look de la fiscalité, établissement des déclarations fiscales, comptabilisation des écritures de clôture, traitement des anomalies, mise en place de reportings, de systèmes comptables, d’états de gestion, etc. Il/elle exerce en profession libérale, en cabinet, en vrai nom propre ou sous forme de société, sur des activités d’expertise, d’audit et/ou de conseil. Il/elle peut aussi rejoindre une entreprise, à une fonction comptable, financière ou de gestion. Salarié ( e ) d’une métier de gestion et de fiscalité AGC, inscrit ( e ) au goût des experts-comptables, il/elle pratique comme en libéral. Régie par l’ordre des experts-comptables, l’activité, distinguée par un titre et un diplôme, est réglementée ( secret professionnel, code de honnêteté, procédures et normes professionnelles, contrôle d’activité ), comme pour les experts judiciaires et les commissaires aux comptes avec lesquels elle collabore. Les directives, inspirées par la loi de sécurité financière, sont guidées par des impératifs de sécurité, sincérité et contrôle de l’information. Habilité ( e ) à prouver de la régularité et l’intention des comptes, l’expert-comptable/experte-comptable n’est pas lié ( e ) à ses mandants par un contrat de travail. Un titulaire du DEC diplôme d’expertise comptable n’a pas l’obligation de s’inscrire à l’Ordre, contrairement à l’associé ou à l’expert-comptable/experte-comptable signataire. Le périmètre d’action s’élargit : il/elle peut exercer dans l’Union européenne, les diplômes européens sont reconnus, les programmes de formation harmonisés, en droit service comptable et au plan normatif.
La fiscalité et la fiscalité des entreprises sont des domaines complexes et techniques. A l’aide de téléconseillers comptables expérimentés, Cabinet-d-expertcomptable. com est présent pour vous apporter les éclairages nécessaires, réaliser vos déclarations, faire votre fiscalité et vous permettre d’éviter tous les écueils, notamment avec les obligations fiscales et comptables, les problématiques de tva, d’impôts sur les sociétés…La plupart le timing ces frais sont donc des frais de déplacements ( remboursement de billets de train ou d’avion, location d’un véhicule ou remboursement de frais kilométriques en cas d’explication de son véhicule personnelle, notes de taxis, péages …etc. ) ainsi que des frais de diner et de logements. Le droit du travail est abondant et évolutif. Il est contraignant pour les dirigeants d’organismes, de ce fait l’aide d’un professionnel est capitale pour respecter toutes les obligations sociales de la société ( déclarations sociales, notices explicatives de paie, régime social des dirigeants, exonérations de charges sociales, contrats de travail, procédures de licenciement, contrôle URSSAF… ) L’expertise a beaucoup missions. Parmi elles, on voit des missions de présentation des comptes annuels, c’est-à-dire il doit tenir, centraliser, renforcer, entretenir et apprécier la fiscalité, assurer la régularité et la sincérité des bilans et des comptes de succès et évaluer ceux-ci. On retrouve aussi des missions d’audit des comptes annuels. excepté l’aspect chiffre, l’expert chargé de comptabilité est aussi l’interlocuteur privilégié des chefs de sociétés puisqu’il est a même de conseiller des axes d’amélioration et de gains de coûts pour que l’entreprise ait une meilleure croissance.
La France compte plus de 16. 000 experts comptables. Ils exercent soit en libéral soit comme salarié dans une entreprise. Avant d’ouvrir votre propre cabinet, il est préférable de avoir travaillé quelques temps comme employé dans une société. Être à son compte demande un grand sens des responsabilités et de etre propriétaire de de nombreux contacts. Vous serez autonome et organiserez votre emploi du temps avec vos clients. Vous pouvez vous accorder à d’autres experts comptables. l’activité peut s’entraîner dans le secteur public ou en entreprise de gestion et fiscalité. Une profession prenante avec des horaires irréguliers et de nombreux déplacements, où il faut savoir concilier carrière et vie personnelle. Pas de voie unique pour se former au métier. On peut démarrer avec un récipient ES, S, STMG ( sciences et techniques du management et de la gestion, option CFE, comptabilité et finance de la société ) ou parfois un récipient L, option maths. Le DCG ( bac 3 ) comporte des matières théoriques ( maths, économie… ) et techniques ( fiscalité, fiscalité, droit, gestion… ). En DSCG ( bac 5 ), vous approfondirez vos connaissances. Puis, vous effectuerez un stage de trois ans rémunéré dans professionnel avant de passer les épreuves finales menant au DEC ( récipient 8 ).
le dispositif PACTE, votée l’an dernier, permet enfin aux diplômés d’expertise chargé de comptabilité exerçant en entreprise de s’inscrire à l’Ordre des experts-comptables. Mais quelles problèmes pratiques ce changement réclamé de plusieurs années peut-il avoir autant pour les professionnels que pour l’Ordre en global ? L’article 36 de la loi PACTE permet désormais aux experts-comptables en entreprise de s’inscrire à l’Ordre sous certaines conditions. Mais surtout, ce leur permet d’exercer dans leur entreprise sous le titre d’expert-comptable en entreprise. dans les faits, ce changement qui s’avère mineur leur permet d’acheter une véritable reconnaissance de leur diplôme d’expert-comptable. surtout que dans bien des cas, certains diplômés qui exerçaient depuis très longtemps comme salariés au service comptabilité de certaines entreprises n’étaient pas du tout reconnus comme des qualifié en spécialité service comptable. Ce changement apporté par l’article 36 permettra d’apporter une plus grande visibilité à le métier comptable qui, comme on le sait, souffre d’un carence d’attractivité. Les conditions pour être reconnu comme expert-comptable en entreprise sont assez simples et intéressées peuvent dès à présent se rapprocher de leur Conseil régional. Une autorisation obligatoire de l’employeur est requise ainsi que l’acquittement d’une cotisation annuelle. Certaines obligations pèseront aussi dans leur activité en entreprise. Le respect d’un code de déontologie particulier aux professionnels en entreprise est requis, tout comme le devoir de loyauté, obéissance et confidentialité auprès de l’employeur, exactement comme les autres salariés.
Le recours à un expert-comptable n’est absolument pas obligatoire pour tenir sa comptabilité. Mais, à moins d’avoir de solides connaissances en comptabilité, il est fortement conseillé de faire appel à un professionnel de la fiscalité. Celui-ci va tenir la comptabilité, contrôler les comptes au moment de la clôture , et ensuite réaliser les comptes annuels ( bilan, compte de résultat, annexes ). Ce qui atténue fortement les risques de encaisser un redressement de les impôts ou de l’URSSAF. Si l’expert-comptable commet une erreur, c’est en effet lui qui devra en assumer les conséquences et pas l’entreprise. Le préjudice subi sera pris en charge par son assurance responsabilité civile professionnelle ( obligatoire ). L’expert-comptable peut s’occuper des démarches et des formalités de réalisation de la société : rédaction des statuts, publication d’une annonce dans un journal d’annonces légales, dépôt du dossier de votre fauteuil de création au CFE…Une fois l’entreprise mise en place, l’expert-comptable peut être habilité à réaliser les documents liés aux différentes obligations légales de la structure : rédaction des procès-verbaux des assemblées générales, mise à jour des statuts, établissement des bulletins de paie et de plusieurs actes…Mais, surtout, un expert-comptable peut exercer la mission de tiers de confiance. Cette mission lui permet de concevoir des démarches pour le compte de l’entreprise : réalisation des déclarations sociales et fiscales, des pièces justificatives aux administrations…
Plus d’infos à propos de Pour plus d’infos, cliquez ici